Article: Le dessin avec Adobe Illustrator

Article: le dessin avec Adobe Illustrator

Bonjour, aujourd’hui je vais aborder le dessin avec Adobe Illustrator en commençant par les calques.

Quelques mots sur Adobe Illustrator

En quelques mots, Adobe Illustrator est un logiciel qui permet de créer des illustrations artistiques, techniques et même des graphiques pour l’impression, pour l’écran ou pour le Web. 

Comme les tracés créés dans Illustrator sont des vecteurs, et non pas des pixels, les créations graphiques conservent toute leur précision et leur définition même lorsque l’on zoom. On peut transformer des formes géométriques simples en logos par exemple, changer les couleurs en quelques manipulations, agrandir, faire une rotation, dupliquer, changer l’épaisseur du trait… sans perdre en qualité. 

Les calques

Adobe Illustrator est donc un logiciel d’illustration vectorielle avec ses difficultés propres exactement comme l’aquarelle, le pastel ou l’acrylique… en moins salissant peut-être! La difficulté première me semble t-il, ce sont les calques.

AI crée automatiquement un calque dès qu’on importe une image et dès que l’on fait une figure. Puis, il crée des sous-calques à chaque tracé. Pour s’y retrouver, car le but est de pouvoir retrouver facilement le tracé que l’on recherche pour pouvoir le changer à notre guise, on peut créer nous-même un nouveau calque. On le nomme (par exemple pour un portrait: YEUX), on le sélectionne et on travaille nos tracés dedans. AI va produire des sous-calques à chacun de nos nouveaux tracés, alors les nommer et bien les classer (par exemple: œil droit, puis œil gauche etc…

Pour être plus clair:

  • il y aura le calque: YEUX et dans ce calques,  
  • le sous-calque: œil droit avec tous les tracés qui correspondent à l’œil droit,
  • et un deuxième sous-calque: œil gauche qui réunira tous les tracés correspondant à l’œil gauche.

Ainsi, lorsque l’on cherche à changer la couleur de l’iris de l’œil gauche, on sait où trouver l’iris gauche.

  1. On le sélectionne,
  2. On le duplique,
  3. On le nomme (iris bleu par exemple)
  4. et on travaille la nouvelle couleur bleue sur ce sous-calque dupliqué.

Voilà comment on peut se retrouver avec la même forme extérieure et plusieurs couleurs d’iris.

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